Pour lui, la situation n’est plus tenable. Sa permanence parlementaire se trouvant à 50m de la Cour d’Appel de Montpellier, il entend régulièrement des plaintes des avocats, magistrats et greffiers qu’il croise quotidiennement. « Ils sont ‘’à bout’’, ‘ça craque de partout’, certains disent même friser la maltraitance au travail », précise-t-il. Une situation qui le pousse à dire que les propos invitant à la nuance, ou les engagements faussement rassurants ne sont plus de mise.
Je ne demande pas au Garde des Sceaux d’avoir une baguette magique et de résoudre séance tenante toutes les difficultés des tribunaux de Montpellier et Béziers. En revanche comme beaucoup des professionnels du droit qui l’ont reçu cette semaine, j’attendais quelques réponses permettant de parer à l’urgence. Or nous avons eu des annonces homéopathiques : un contractuel par ci, un vacataire par là. Ce n’est clairement pas au niveau
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